L’on est proche de tout renverser. Aussi proche que les suspectes collusions qui continuent de nous effarer. Alors que l’on est plus guère dupe. Croyions-nous.
 
Nous le sommes et volontiers plus que d’antan. C’est que l’on est dressé désormais. Les unEs contres les autres. A l’intérieur de sois également. Et vissé au paradigme errant. DresséEs pour de bon et pour de longtemps.
 
Ces ceintures contiguës qui privent de distanciations mémorielle, de perspectives concrètes; de sortir de l’immédiateté, de ses alertes continuelles; conduits pas les pulsions addictives, les sollicitations les stimulations, des conditionnements qui nous (é)-conduisent.
 
Alors stop. On arrête tout, on casse rien. On s’écoute, on réfléchit et on entend. L’An 01 est à nos portes. Il suffit d’y ouvrir et de jeter la clé. [*]
 
Le sens ne doit plus ne peu plus nous effrayer. CE sont là de vieux croquemitaines prêtés à nos attentions pour la détourner de l’essentiel. Notre condition de dépend que de nous. Alors plutôt que de de forger les fers qui nous entravent; brisons les chaînes qui nous isolent. NO BORDERS. ni patrie, ni clergé, ni patron. Libradio; si la Colère est contagieuse, la rage est inflammable.
 
radio31.2
 
[*]
« On arrête tout, on casse rien et on réfléchit » librement retranscrit depuis « L’AN 01 » B.d. et film utopistes par feu François Cavanna et Gébé. A lire et propager impérativement.

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